entete Université Laval

Discours de la rentrée du recteur de l'Université Laval,
M. Denis Brière, prononcé le mardi 18 septembre 2007
devant les membres du Conseil universitaire

Bonjour à toutes et à tous, membres du Conseil universitaire.

Je suis heureux de m'inscrire aujourd'hui dans la tradition de prononcer devant vous le discours de la rentrée. Je profite de cette occasion privilégiée pour vous souhaiter, très chaleureusement, une bonne rentrée 2007-2008 et pour vous exprimer toute ma gratitude pour votre précieuse contribution à la bonne marche de notre institution.

J'en profite aussi pour vous faire part de la fierté et de l'enthousiasme qui m'animent depuis que j'ai entrepris, le 1er juin dernier, mon mandat de recteur. Cette motivation à m'investir pleinement dans le développement et le rayonnement de notre Université s'explique, d'une part, par mon profond attachement envers mon alma mater et, d'autre part, par ma profonde conviction que les assises de notre Université sont solides, car elles reposent sur l'excellence de ses enseignements, de ses recherches et de ses créations.

Je suis particulièrement motivé par l'appui et la collaboration des membres de la nouvelle équipe de direction, choisis en fonction de leur compétence et de leur adhésion aux valeurs de l'Université Laval. Madame Germain, messieurs Bauce, Beauchamp, Bourget et Garnier, un grand merci d'avoir accepté de m'assister.

Merci aussi à mesdames Lacasse et Piché et à messieurs Paradis et Lacroix de vous être joints à cette équipe à titre de vice-rectrices et de vice-recteurs adjoints. J'aimerais, enfin, souligner ma reconnaissance à madame Monique Richer qui continuera d'occuper la fonction de secrétaire générale. Votre volonté de tout mettre en œuvre pour que l'Université Laval se développe, rayonne et prospère représente également, pour moi, une source de motivation inépuisable.

Enfin, je sais que vous attendiez tous et toutes la rencontre de ce matin pour prendre connaissance des grandes orientations que je nous propose de privilégier pour l'année en cours.

L'ANNÉE 2006-2007

En ce qui concerne le bilan de l'année écoulée, vous me permettrez de m'en tenir qu'à quelques constats marquants. Je souhaite, en effet, mettre l'accent sur l'avenir, car la situation de notre Université, bien qu'elle ne soit pas critique, me préoccupe.

Qu'il s'agisse de notre dette accumulée, de notre recul en matière de financement de la recherche, des menaces que nous posent la démographie et le sous-financement du système universitaire, de la concurrence entre les universités et des conditions de partenariats sur les scènes régionale, nationale et internationale, ou encore de l'évolution des modes d'apprentissage ou des valeurs de la société, les défis sont importants et commandent une vaste mobilisation de l'ensemble de la communauté universitaire.

Tout d'abord quelques mots sur l'année qui vient de se terminer :

- Sur le plan du recrutement, l'Université a connu une décroissance de 0.55 % de ses effectifs étudiants équivalent temps plein (EÉETP), alors que nous prévoyions une hausse de 0,5 %. Cette décroissance a évidemment eu un impact, en 2006-2007, sur notre subvention du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport, ainsi que sur nos revenus de droits de scolarité. Globalement, cela représente un manque à gagner de 2 millions de dollars par rapport aux résultats de 2005-2006.

- Du côté des fonds de recherche, nous avons obtenu, en subventions et partenariats divers, un montant de 231 M $ en 2005, toutes sources confondues. Les résultats pour 2006 seront connus au début de novembre. L'Université Laval qui, pour les fonds de recherche, occupait le 5e rang au Canada en 2003 est passée au 9e rang en 2005, par suite d'une baisse de 56,5 M $, soit 20 % de ses revenus sur une période de 3 ans.

- Dans un autre ordre d'idées, je rappelle que le Conseil d'administration a adopté, il y a quelques mois, le rapport de la Commission d'examen de nos processus de gestion, mieux connu sous l'acronyme CEPGUL. Ce rapport présente des balises fort utiles pour nous permettre de revoir notre gestion, une gestion qui se doit d'être véritablement au service de nos missions fondamentales d'enseignement, de recherche et de création.

Les enjeux auxquels nous faisons face collectivement sont majeurs. Nous devons agir tous ensemble pour que l'Université Laval continue d'occuper pleinement la place qui est la sienne et conserve sa réputation fort enviable : celle d'être une des meilleures universités au Québec, au Canada, et sur la scène internationale, en attirant ici les meilleurs étudiants et en leur offrant des curricula de grande qualité.

Je veux maintenant vous faire part des grands chantiers que j'entrevois pour la prochaine année.

Le plan d'action que j'ai présenté lors de la campagne électorale s'articulait autour d'idées que je crois porteuses d'avenir pour notre institution: se concerter, conjuguer nos efforts, bâtir ensemble un avenir durable pour notre université. Voilà l'essence même de mon engagement. La recherche de synergie et la mobilisation de l'ensemble de la communauté universitaire sont au cœur des orientations que je propose. Le développement durable de notre institution guide mon action. Les valeurs qui peuvent être associées à cette finalité sont celles dont j'entends faire la promotion.

Voici quelques orientations et objectifs qui m'apparaissent incontournables et auxquels je vous invite à réfléchir.

LES ÉTUDES

Notre mission première est d'offrir un enseignement et un encadrement basés sur l'excellence et la réussite. La qualité de nos formations doit être une considération incontournable et plusieurs pistes d'action doivent être privilégiées en ce sens:

- D'abord, au-delà du contenu, nous devons offrir des programmes et des modes de formation qui favorisent l'autonomie des étudiants et leur participation, des programmes et des façons de faire sur le plan pédagogique qui développent le sens critique et les habiletés de communication et qui encouragent une ouverture à la multidisciplinarité, à la coopération, et à l'international.

- Ensuite, nous devrons, encore plus que par le passé, déterminer quels sont les facteurs qui favorisent la réussite. Nous poursuivrons nos efforts pour bien définir quelles sont les compétences qui doivent absolument être acquises dans le cadre des programmes d'études, notamment sur le plan des langues, et en tenir compte dans la gestion de nos programmes actuels ou en élaboration.

- Il faudra également encourager l'interdisciplinarité et la diversification des méthodes d'apprentissage. À cet égard, je salue le projet santé qui permettra, dans un pavillon Vandry agrandi et rénové, le décloisonnement et l'innovation dans la formation des professionnels de la santé, en même temps que la démonstration d'un fort leadership, notamment par l'implantation du Centre Apprentiss, un centre interfacultaire en sciences de la santé pour l'apprentissage des habiletés cliniques.

- Je vous fais aussi part de ma volonté de voir s'intensifier le développement des programmes ayant un profil international de même qu'un volet coopératif.

- Quant au recrutement, j'en fais la priorité de l'heure. Pour attirer les meilleurs étudiants à l'Université Laval, il faut mettre de l'avant des actions concertées. À cet égard, une vaste mobilisation s'impose et tous seront invités à y participer. Par exemple, nous devrons chercher à stimuler et encourager l'inscription d'étudiants provenant des provinces hors Québec et de l'international.

- Nous avons aussi la responsabilité d'offrir un environnement d'apprentissage flexible et moderne, dont notamment la nécessité continue de faciliter l'intégration harmonieuse des technologies de l'information dans l'enseignement, la recherche et la création, le tout dans des locaux d'enseignement répondant aux besoins des étudiants, des professeurs et des chargés de cours.

- La qualité de la formation que nous offrons doit également inclure le souci permanent de l'intégration future des étudiants en milieu de travail et une interaction soutenue entre les étudiants et les professionnels de leur futur champ d'activité.

- Nous nous devons aussi de poursuivre les efforts nécessaires dans le domaine de la formation continue et de la formation à distance pour élaborer des programmes qui répondent aux besoins des employeurs, des salariés et de la population en général.

Voilà donc, en bref, les orientations que nous souhaitons développer au chapitre des études.

LA RECHERCHE ET LA CRÉATION

Depuis deux décennies, la recherche universitaire a connu un essor sans précédent, au point où les termes " économie du savoir " et " innovation " sont devenus courants dans le discours public. De nouveaux programmes de financement ont été créés, tandis que les entreprises privées et organismes publics s'intéressent de plus en plus aux applications de la recherche et au personnel hautement qualifié que nous formons.

Ce nouveau contexte nous incite à proposer les grandes orientations suivantes :

- La recherche s'effectuant de plus en plus à l'interface entre les disciplines, il nous faut faciliter les initiatives dans les secteurs en émergence, porteurs d'innovation sociale et de développement scientifique, intensifier les possibilités de collaborations interdisciplinaires, et surtout mettre en place les conditions qui permettent ces collaborations;

- Nous devons stimuler une insertion accrue de nos créateurs et de nos chercheurs dans les réseaux ou regroupements provinciaux, nationaux et internationaux, et surtout mettre en place les conditions qui leur permettront d'en assumer le leadership;

- Il nous faut également mettre encore davantage en valeur les résultats de la recherche, non seulement pour des fins de transferts technologiques, mais aussi pour leur capacité à résoudre des problèmes sociaux;

- Sur le plan organisationnel, nous nous assurerons d'une utilisation efficace de nos infrastructures de recherche et du renforcement des interactions internes et externes. Dans ce contexte, nous réexaminerons aussi la gouvernance de nos organisations de recherche;

- Nous voudrons mettre en place et en œuvre des représentations externes plus efficaces auprès des principaux organismes d'appui à la recherche;

- Nous poursuivrons aussi notre contribution à l'accroissement des connaissances fondamentales, mais aussi notre participation à l'avancement de la société par la création de chaires de recherche et la mise en place de partenariats de recherche et de création porteurs pour l'institution et la société.

- Enfin, nous serons attentifs au développement de la recherche-création dont les retombées sont très importantes sur le plan social. Pensons, par exemple, à des domaines tels les arts visuels, la musique et la création littéraire.

L'INTERNATIONALISATION

L'Université Laval fait partie d'un réseau d'enseignement mondial. Elle doit donc encourager et favoriser le développement de liens d'enseignement, de recherche et de création avec les établissements d'autres provinces canadiennes et les universités à travers le monde.

Pour ce faire, l'Université Laval doit offrir la possibilité à ses étudiants d'acquérir, au cours de leur formation, des compétences qui leur permettront d'œuvrer à l'échelle internationale. Il lui faut faciliter l'intégration d'étudiants, d'enseignants, de créateurs et de chercheurs internationaux, pour l'enrichissement culturel et scientifique de la communauté. En contrepartie, elle doit aussi assurer à ses enseignants, créateurs et chercheurs, un appui efficace à leur rayonnement sur la scène internationale. Enfin et surtout, elle a la responsabilité d'assurer la cohérence et l'efficacité des actions stratégiques de développement international.

De façon concrète, nous nous fixons comme objectifs :

- D'augmenter les inscriptions aux profils internationaux, de même que le nombre d'étudiants étrangers sur le campus;

- De favoriser l'internationalisation de nos programmes de manière à préparer nos étudiants à œuvrer sur la scène internationale, notamment par l'apprentissage de langues étrangères et par l'adaptation du contenu des cours;

- De déployer des efforts particuliers pour continuer le développement des programmes internationaux aux études supérieures.

À ces fins, nous souhaitons donc :

- Mettre en place un fonds institutionnel aux initiatives internationales dans le cadre du recrutement et de l'internationalisation de la formation.

- De plus, nous définirons, en étroite concertation avec les unités, les secteurs disciplinaires et les institutions avec lesquelles l'Université veut soutenir des actions prioritaires sur le plan international.

Du côté des étudiants, il nous faut continuer à soutenir le développement de programmes d'échanges internationaux, à examiner le développement des stages de courte durée et à appuyer la mise sur pied de programmes humanitaires.

En somme, nous intensifierons énergiquement l'internationalisation de nos activités et ce, rapidement.

LA GESTION

Comme toute grande institution, l'Université Laval doit également disposer d'un mode de gestion efficace. À cet égard, je propose de retenir quatre grandes orientations :

- Premièrement, on se doit de favoriser et mettre en valeur la participation constante et motivée des membres de la communauté universitaire dans la poursuite des objectifs associés à la réalisation de la mission fondamentale de l'Université. Dès lors, l'engagement de tous et toutes et la participation aux décisions sont indispensables au fonctionnement et au rayonnement de l'institution et de ses membres. L'instauration d'une telle participation et la reconnaissance du rôle de chacun favoriseront le développement d'un sentiment d'appartenance, ainsi qu'une meilleure concertation entre les différents acteurs de la communauté universitaire.

- Deuxièmement, nous nous devons d'assurer une saine gestion des finances de l'Université. Celle-ci passe par l'élaboration d'un plan de résorption du déficit et de redressement des finances. À cet égard, nous miserons sur l'efficacité de notre gestion et l'apport de nouvelles ressources financières, et non sur une série de compressions qui nous entraîneraient dans une spirale de décroissance. Pour atteindre ces objectifs, nous mettrons en place deux chantiers. Le premier chantier, piloté par des membres de la communauté universitaire, abordera les gains d'efficacité dans nos processus de gestion, avec en toile de fond la valeur ajoutée de chacun de nos gestes. Le deuxième chantier, mis en œuvre par des membres externes, visera de nouveaux modes de financement, notamment en exploitant efficacement les occasions de partenariats à caractère financier externes dans le respect de notre mission et de nos valeurs universitaires. À cet effet, une politique sur les relations entre notre institution et le secteur privé sera mise en place et M. Jacques Racine a accepté de présider ce chantier.

- Troisièmement, nous accorderons une attention particulière à nos modes de gouvernance et à notre structure de gestion.

- Quatrièmement, il m'apparaît essentiel de rendre compte annuellement des résultats obtenus, et ce, de façon transparente et crédible. Pour ce faire, nous envisageons la mise en place d'un tableau de bord qui comprendra les cibles et les indicateurs de performance que l'on se sera collectivement fixés non seulement en matière de gestion, mais également sur le plan de la qualité de l'enseignement, de notre performance en recherche et création, de nos efforts d'internationalisation de nos activités et de recrutement, de la qualité des services offerts et du climat de travail, de l'amélioration de nos infrastructures et de notre bilan institutionnel sur le plan environnemental.

À propos de l'environnement, je souhaite que soit poursuivi notre virage vert, notamment en maintenant et en augmentant notre appui au projet de Campus durable, initié par le groupe Univert Laval.

LES MEMBRES DE LA COMMUNAUTÉ UNIVERSITAIRE

Permettez-moi maintenant de dire quelques mots sur ma vision de notre communauté universitaire et de ses membres. Comme je le disais plus tôt, ce sont les membres de la communauté qui constituent la plus importante ressource de l'Université Laval. En cette période de baisse démographique et de départs massifs à la retraite, notre "avenir durable" passe sans contredit par le recrutement et la fidélisation.

Pour y arriver, quelques priorités d'action m'apparaissent essentielles :

- D'abord, il nous faut offrir un environnement de travail agréable, accueillant et stimulant. Cela demande de valoriser la qualité du travail, d'encourager l'excellence et l'initiative, de susciter l'enthousiasme et la motivation en mettant en place un programme de reconnaissance qui s'adresse à tous les membres de notre communauté.

- Nous devons aussi améliorer les conditions de formation et de vie des étudiants et étudiantes. L'augmentation de la capacité d'accueil de nos résidences universitaires et l'amélioration de la qualité de celles qui existent déjà font partie des priorités d'action déjà ciblées, tout comme la réalisation du projet du super PEPS. Nous entendons également travailler en étroite collaboration avec les étudiants dans le dossier du laissez-passer universel de transport en commun.

- Enfin, il nous faut valoriser davantage les initiatives étudiantes. À cette fin, nous mettrons en œuvre les recommandations de la Commission des affaires étudiantes quant à la reconnaissance de l'implication étudiante, non seulement dans les activités sportives, mais aussi dans celles qui touchent la création et l'art. Nous nous devons également d'encourager et de mettre en valeur la mise en place de tribunes et de forums de discussion permettant aux étudiants et au personnel de s'exprimer sur les grands enjeux sociaux.

L'IMPLICATION DANS LA COMMUNAUTÉ RÉGIONALE

Avant de conclure, permettez-moi de vous faire part de ma vision quant à notre implication dans la communauté régionale.

L'Université n'est plus la traditionnelle tour d'ivoire soigneusement à l'abri des remous et des influences de la société. L'Université du 21e siècle est ouverte sur le monde, certes, mais d'abord sur son milieu. À titre d'université de la Capitale Nationale, l'Université Laval doit donc :

- S'impliquer plus activement encore dans sa région, et ce, sur les plans social, culturel et économique;

- Elle doit continuer à coopérer avec les institutions d'enseignement, le milieu socioéconomique et les instances gouvernementales pour l'avancement et la diffusion des connaissances.

- Elle doit entretenir des liens étroits avec les partenaires qui contribuent à son fonctionnement, à sa gouvernance et à ses revenus.

- Enfin, l'Université doit être présente dans les grands débats de société et dans la vie de notre milieu dans le but d'encourager le développement intellectuel, social, culturel et économique de la grande région de Québec. À ce sujet, je vous indique qu'un comité de coordination de la participation de la communauté universitaire aux fêtes du 400e anniversaire de Québec vient d'être créé, sous la présidence de monsieur Jean-Marie de Koninck.

Le progrès de notre région, c'est aussi le progrès de l'Université Laval. À cet égard, nous entendons poser plusieurs gestes:

- Nous devons, d'une part, améliorer la reconnaissance et mettre davantage en valeur la qualité de nos programmes d'enseignement régulier et de nos cours offerts dans le cadre de la formation continue et de la formation à distance.

- Nous aurons, d'autre part, à mieux informer la communauté régionale des réalisations de nos chercheurs, de nos créateurs et de nos étudiants. Il faut davantage faire connaître nos "bons coups" et le dynamisme de notre communauté universitaire. Nous avons fait des progrès à cet égard : nous devrons en faire davantage. C'est, notamment, pour cela qu'une adaptation de la structure de la Direction des affaires publiques est présentement en cours.

- Nous devrons aussi mettre en évidence l'implication de nos membres dans la collectivité, soit à titre de bénévoles, soit à titre d'experts. Je suis persuadé qu'il nous faut mettre en place un mécanisme de concertation avec les facultés et les unités en vue de concevoir une stratégie cohérente d'interaction avec la communauté.

- Enfin, la concertation avec les collèges devrait être non seulement maintenue, mais accrue afin d'élaborer davantage de programmes coopératifs du genre des DEC-BAC. Cela est susceptible d'assurer entre les deux niveaux de formation un meilleur arrimage pour favoriser le cheminement optimal des étudiants.

CONCLUSION

En conclusion, pour concrétiser les priorités exposées aujourd'hui, nous devons nous approprier ensemble une série d'actions coordonnées.

Pour se faire, nous enclencherons dans les prochaines semaines un exercice de concertation qui permettra de définir comment tous les membres de notre communauté universitaire pourront contribuer à l'atteinte de nos grands objectifs.

Merci.

 
visitez
ulaval.ca
© 2009 Université Laval, tous droits réservés